Menée en partenariat avec Neuro-Insigh, QMS a publié les résultats de sa dernière étude visant à mesurer l’efficacité de son nouveau réseau de mobilier urbain numérique de la ville de Sydney en Australie.
L’étude a montré que ce nouveau réseau a entraîné de solides scores de « désirabilité » et une augmentation de 24% de l’encodage de la mémoire à long terme par rapport aux références mondiales.
Par rapport au mobilier urbain précédent, l’encodage de la mémoire à long terme a atteint 26%.
Cette étude illustre l’intérêt croissant des professionnels de l’affichage dynamique et du marketing pour les neurosciences.
Un autre exemple concerne le réseau DOOH KEVANI basée à Los Angeles qui a mené une étude en 2022 afin d’étudier l’impact de 10 panneaux d’affichage à 8 endroits différents sur le comportement subconscient des participants.
Cette étude a montré que dans les environnements publicitaires où la charge cognitive est élevée, le cerveau humain compense la sursaturation en accordant automatiquement moins d’attention, ce qui entraîne de faibles niveaux de rappel de la marque et moins de souvenir publicitaire.
En revanche, la publicité placée dans des zones moins saturées recueille un fort taux de rappel et stimule les réponses positives.
La charge cognitive correspond à la quantité d’informations que la mémoire peut contenir à un moment donné. Les neurosciences ont révélé qu’une faible charge cognitive est associée à une meilleure performance publicitaire .
La conclusion s’applique à tous les formats et dans n’importe quel contexte.
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